« Le film paraît plus cohérent, mais cela tient peut-être au fait qu’on a déjà parcouru une fois ce labyrinthe. En en sortant, on reste peut-être plus calme, mais toujours aussi ébahi de ce mélange d’invention débordante et de puérilité. »
Quelques initiatives d’une galerie suisse – une récente participation à la Fiac et une autre, plus ancienne, à Art Basel Miami – sont prétexte à éclairer des affinités entre industries de l’art et de la mode.
Durable, éco-responsable, éthique… le design a retrouvé une raison d’être en verdissant ses process et ses objets – bien souvent surabondants. Quid de la mode ? Si les préoccupations écologiques sont présentes, elles entrent en conflit avec le désir de mode, qui se laisse difficilement dicter sa loi.